Au Mali, des tirs ont retenti tôt ce matin du 17 septembre dans la capitale Bamako. Une école de la gendarmerie et une zone militaire de l’aéroport de Bamako ont été la cible des terroristes. Une base d’où sont lancés les drones de l’armée malienne.
Le Groupe de soutien à l’islam et aux musulmans (Jnim, lié à al-Qaïda), a revendiqué l’attaque de ce mardi. Les autorités de transition assurent que la situation est désormais « sous contrôle », cependant les affrontements ont repris en début d’après-midi à l’aéroport.
Un communiqué de l’armée précise qu’« un groupe de terroristes a tenté de s’infiltrer » dans l’école de la gendarmerie. « La situation est sous contrôle », a informé l’armée malienne, qui précise mener des « opérations de ratissage » dans la zone.
La situation à Bamako après l’attaque terroriste est calme, a assuré Aliou Tounkara, un parlementaire malien. Selon dernier, une cinquantaine de personnes avaient été blessées lors de l’attaque, et près de 20 d’assaillants arrêtés.
La télévision malienne a pour sa part montré une vingtaine de prisonniers après l’attaque perpétrée mardi matin à Bamako contre un camp militaire.
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