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La dernière prophétie de Nostradamus : elle révèle la date de la fin du monde

Vangelia Pandeva Gushterova, alias Baba Vanga, morte en 1996 à l’âge de 85 ans, dont ses prédictions sont toujours d’actualité aujourd’hui pour ses disciples, annoncent la fin du monde à cette date.

Encore appelée la « Nostradamus des Balkans », elle est devenue aveugle à l’âge de 12 ans et affirme depuis avoir acquis des dons de prédire l’avenir. L’une de ses prédictions la plus remarquable fut l’attentat contre les Tours jumelles de New York le 11 septembre 2001.

« Deux oiseaux de métal s’écraseront sur nos frères américains , les loups hurleront dans les buissons et le sang des innocents coulera dans les rivières », a-t-elle prédit.

Ce fut une prédiction claire et percutante, dont la similitude avec ce qui s’est réellement passé est évidente.

Ainsi, une autre de ses prédictions retient particulièrement les attentions : la date de la fin du monde.

La date de la fin du monde d’après Baba Vanga

Le « Nostradamus des Balkans » a prophétisé que le monde prendrait fin en l’an 5079 à la suite d’un événement cosmique aux proportions « inimaginables ».

Les prophéties de « Nostradamus des Balkans » pour les décennies à venir

D’après Baba Vanga, en 2025, un conflit majeur aura lieu en Europe, ce qui déclenchera une forte réduction de la population du continent.

Aussi, en 2028, l’humanité parviendra à atteindre la planète Vénus pour tenter de trouver de nouvelles sources énergétique, et 5 ans plus tard, en 2033, la fonte des glaces aux pôles augmente considérablement le niveau de la mer. Sur le plan politique, les prophéties de « Nostradamus des Balkans » prévoient qu’en 2076 le communisme reviendra sur toute la planète.

Les prédictions de Baba Vanga s’étendent jusqu’à 5079, date à laquelle, d’après elle, aura lieu la fin du monde.

D’autres prédictions présagent un contact avec des civilisations extraterrestres en 2130, une sécheresse mondiale en 2170, une guerre sur Mars en 3005 et la destruction de la Terre en 3797. Dans tous les cas, l’humanité serait déjà en mesure de se déplacer vers une autre planète du système solaire.

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