Le journaliste Ferdinand Ayité a révélé qu’un mandat d’arrêt international est lancé contre sa personne et l’ancien officier de gendarmerie, le Commandant Olivier Amah, accusés d’être le bras opérationnel d’un complot contre la sureté de l’État.
Le journaliste en exil a réagi face à ses accusations.
« Je suis un journaliste au parcours bien connu même si parfois sinon souvent j ai le triomphe modeste. J ai été l un des 4 lauréats du prix mondial de la liberté de presse ( CPJ). Cette reconnaissance internationale m a ouvert de grandes portes dans le monde » a-t-il déclaré.
Avant d’ajouter « J’ai été reçu à la Maison Blanche par le Conseiller à la Sécurité intérieure du Président Joe Biden ( Là où certains chefs d État africain déboursent des millions à travers des structures de lobbying pour un rdv mais sans jamais se faire recevoir). J y ai également gardé de solides relations. M associer ou vouloir m associer à une entreprise terroriste est une entreprise désespérée de diffamation sans précédent et d intimidation du pouvoir qui semble de plus en plus fragile au point de voir des fantômes partout et de s en prendre dans son délire à des gens sans aucune défense ( veuve et orphelins) »
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Il poursuit « Même si j ai déjà des informations précises sur leurs accusations fallacieuses sorti directement de leur laboratoire où visiblement on ne réfléchit plus trop, j attends d avoir les documents formels pour préparer aussi ma réplique à travers nos » petits » réseaux dans le monde. Ils devrons de toute façon nous expliquer comment un journaliste qu ils ont contraint en exil et qui se cherche depuis un an à pu trouver des moyens pour financer des attaques. Ils doivent nous dire aussi si les attaques que le Nord du Togo et Benin subissent depuis plus de deux ans sont financés par le même journaliste.» a-t-il conclu.