Le discours récent du président ghanéen, Nana Akufo-Addo, a résonné comme un appel à l’unité pour le continent africain dans sa quête de réparations pour les séquelles de l’esclavage transatlantique et de la période coloniale.
À l’occasion d’une conférence à Accra, Nana Akuf-Addo a exhorté ses pairs africains à se dresser ensemble pour obtenir des excuses officielles des nations européennes impliquées dans la traite des esclaves. Cette déclaration, empreinte d’une demande de justice historique, vise à reconnaître les dommages profonds causés par ces pratiques inhumaines.
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Akufo-Addo a souligné que l’Afrique dans son ensemble mérite des excuses officielles pour les ravages causés par la traite des esclaves, marquant ainsi une volonté de briser le silence entourant cette période sombre de l’histoire. Il a également mis en lumière le fait que malgré l’importance des réparations financières, aucune somme d’argent ne pourrait réellement effacer les souffrances infligées par cette traite transatlantique. Cette prise de position interpelle le monde sur une question jusqu’alors négligée et enfouie.
