Le célèbre rappeur américain Soulja Boy, de son vrai nom DeAndre Cortez Way, a été reconnu coupable par un jury californien d’agre.ssion se.xuelle, de v!olences physiques et psychologiques envers une ancienne assistante. Ce jeudi, la justice a tranché : l’artiste devra verser plus de 4,25 millions de dollars à la plaignante, restée anonyme.
V!ole.nces, menaces et traum@tismes : le témoignage glaçant de la victime
Employée en 2018 pour des tâches personnelles, la victime affirme n’avoir jamais été payée. Rapidement, leur relation aurait viré à l’abus : coµps, v!ols répétés, men@ces avec une arme, jusqu’à un épisode où elle fut ligotée dans un garage pendant des heures, selon les documents judiciaires. Le jury, bien qu’ayant écarté l’accusation de séque.stration, a reconnu la responsabilité civile de Soulja Boy pour les autres chefs d’accusation.
Des séquelles profondes et une carrière brisée
L’ancienne assistante souffrirait aujourd’hui de troubles anxieux, dépression et stress post-traumatique, selon les experts présentés au procès. Cette affaire, révélatrice de dérives graves dans l’industrie du divertissement, pourrait marquer un tournant dans les procédures de protection des employé·es du milieu artistique.
Les avocats de Soulja Boy contestent
Les représentants du rappeur ont annoncé leur intention de faire appel, dénonçant un verdict influencé par des stéréotypes et affirmant que les preuves étaient insuffisantes. Pour l’heure, la réputation du chanteur est gravement ternie.
Une star déchue
Connu mondialement pour son tube Crank That (Soulja Boy) en 2007, l’artiste voit son image publique s’effondrer sous le poids de cette condamnation judiciaire historique.
