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Jugé pour terr0r!sme en France, un Algérien brise le silence : Découvrez son discours violent (Vidéo)

Lors du dernier jour du procès de l’attentat de la rue Victor-Hugo, Mohamed Hichem Medjdoub, resté silencieux durant les débats, a pris la parole pour la première fois. L’accusé, jugé pour l’attentat à la bombe ayant fait 13 blessés en mai 2019 à Lyon, a livré un discours froid, empreint de provocation et sans le moindre mot pour les victimes.

Affichant un mépris assumé, il a qualifié son attaque de « succès total » et a affirmé que sa conscience était tranquille, insistant : « Je dors bien et je fais de jolis rêves ».

@ledauphinelibere ⚖️Le procès de Mohamed Hichem Medjdoub s’ouvre le 31 mars devant la cour d’assises spéciale de Paris. Il est accusé d’être l’auteur de l’attentat survenu le 24 mai 2019 en Presqu’île de Lyon. L’explosion d’une bombe artisanale avait physiquement blessé 13 passants. #lyon #video #medjdoub #tiktokfrance #tiktoklyon #lyon #sinformersurtiktok #news #tiktoknews ♬ son original – Le Dauphiné Libéré

Un monologue glaçant et revendicatif

Dans une prise de parole de cinq minutes, Mohamed Hichem Medjdoub a revendiqué son acte avec fierté, déclarant que tous ses « objectifs ont été atteints ». Il n’a exprimé aucun regret, se contentant de dénoncer la société française dans un discours tranchant, sans toutefois évoquer l’État islamique, bien qu’il lui ait prêté allégeance auparavant.

Ses propos ont été vécus comme un affront par les victimes, l’un d’eux affirmant : « Il nous a craché son venin à la figure ».

Mohamed Hichem Medjdoub, accusé d’être l’auteur de l’attentat à la bombe de la rue Victor-Hugo, en mai 2019. Photo Zziigg

Vers la perpétuité pour protéger la société

Le parquet a requis la réclusion criminelle à perpétuité, assortie d’une période de sûreté de 22 ans. L’objectif : protéger la société d’un homme considéré comme dangereux et radicalisé, enfermé dans une idéologie violente.

Le verdict est attendu dans la journée. Le procès aura marqué les esprits, non seulement par la gravité des faits, mais aussi par l’absence totale d’humanité dans les mots de l’accusé.

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