Sur la route de l’immigration vers l’Europe, de nombreux jeunes africains en quête d’une vie meilleure doivent malheureusement faire face à la cruauté de la vie, qui parfois leur coûte la vie.
En effet, un groupe de trois camerounais immigrés clandestins ont fait l’amère expérience à leur arrivée sur le sol européen. Ces derniers ont frôlé la mort à la frontière entre la Pologne et la Biélorussie.
Les trois infortunés ont rapporté avoir été sauvagement frappés à coups de pieds et de matraques sur les bras, les jambes et la tête, pendant qu’ils voulaient se refugier en Pologne. Après les séances de bastonnades, ils ont été ensuite expulsés vers la Biélorussie.
Les autorités biélorusses en charge de la régulation du flux migratoire ont dénoncé la mésaventure de ces trois camerounais, protestant contre une « Europe prétendument hospitalière » mais qui poursuit en fait une politique de xénophobie et de génocide envers des réfugiés jugés indésirables en raison de leur race et de leur nationalité. Pour la Biélorussie, les lois migratoires européennes favorisent la violence et la brutalité.
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Au sujet des trois camerounais, le Comité national des frontières de Biélorussie a publié un communiqué rapportant que les gardes-frontières ont découvert deux hommes et une femme blessés et incapables de se mouvoir dans la région de Svislach, comme l’a rapporté hier, fin août 2024, l’agence Sputnik
