C’est l’annonce faite le ministère russe de l’intérieure ce lundi 25 septembre. La Russie a ajouté le président de la Cour pénale internationale (CPI), Piotr Hofmanski, à sa liste de personnes recherchées.
Lire aussi: Cet important projet de ce milliardaire va bientôt tout changer en Afrique subsaharienne
Alors que la CPI avait émit un mandat d’arrêt contre le président Russe suite à l’invasion de l’Ukraine, le pays vient à son tour d’émettre un mandat de recherche contre le président de l’institution.
Une routine pour la Russie
Ce n’est pas la première fois que la Russie s’oppose à la CPI. En mai, le procureur de la CPI, Karim Khan, avait été ajouté à la liste des personnes recherchées par Moscou.
Les accusations portées contre Vladimir Poutine et Maria Lvova-Belova, chargée de l’enfance en Russie, sont liées à des allégations de crimes de guerre pour « déportation illégale » de milliers d’enfants ukrainiens. Cependant, ces accusations sont vigoureusement contestées par le gouvernement russe.
Lire aussi: Le Mali menace en cas d’intervention militaire au Niger : “Nous ne resterons pas les bras croisés” (Vidéo)
L’ajout de Piotr Hofmanski à la liste des personnes recherchées par la Russie soulève des questions sur les implications diplomatiques et judiciaires de cette décision, alors que les tensions internationales perdurent autour de cette affaire.