L’ancien président sud-africain, Jacob Zuma, ne pourra pas se présenter aux élections présidentielles prévues pour le mois de mai, suite à une décision de la Commission électorale indépendante.
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Jacob Zuma, ancien président de l’Afrique du Sud, se voit interdire de participer aux élections présidentielles prévues pour le mois de mai. La Commission électorale indépendante (CEI) a maintenu une objection contre sa candidature, ce qui acte son exclusion du scrutin.
En effet, bien qu’il ait été désigné candidat à la présidentielle par le parti uMkhonto weSizwe (MK), la Constitution sud-africaine lui interdit de se présenter à nouveau, ayant déjà effectué deux mandats présidentiels maximums.
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Cependant, la situation juridique demeure floue, car Jacob Zuma n’a pas terminé son deuxième mandat présidentiel, ayant quitté le pouvoir en 2018 avant la fin de son mandat en 2019. Certains experts estiment que la Cour constitutionnelle devra clarifier cette question complexe.
Les partisans de Jacob Zuma, notamment ceux du parti MK, ont réagi avec véhémence à son exclusion, promettant de « sacrifier leur vie » pour soutenir leur leader. Les avertissements de risques de guerre civile émanant de certaines figures politiques soulignent l’ampleur des tensions qui entourent cette décision.
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